Au cours d’un service divin à N’Yabémé, ‘l’officiant a rassuré les frères et sœurs que devant les dangers et les soucis, nous avons un soutien de taille : l’Eternel.
Les cérémonies ont pris fin avec joie et danses du terroir.

L’image du Seigneur vue en ses envoyés
L’Apôtre  et les ministres ont été chaleureusement reçus par des chants et des bouquets de fleurs dans la communauté de N’Yabéma. Cette allégresse était pour ainsi signifiée en eux qu’ils étaient réellement les missionnaires de Jésus.

Véritable secours
« Le secours me vient de l’Eternel, qui a fait des cieux et la terre. Il ne permettra point que ton pied chancelle ; Celui qui te garde ne sommeillera point » (Ps.121 :2-3) était le texte de base pour ce service divin.

Dans sa prédication, l’officiant a dit que si le pèlerin parle du secours, c’est probablement, à cause du danger, donc des soucis. Les animaux sauvages ou les prédicateurs représenteraient ce danger. C’est pourquoi il se pose la question : « ……..D’où me viendra le secours ? » (Ps121 :1).

Et le pèlerin, comme secours, a choisi l’Eternel. il n’a  fait recours ni à un marigot, ni à une montagne, ni à un humain.

Des montagnes de dangers pour nous.
Nous pourrions être confrontés aux montagnes de soucis :

• Manque de confiance à Dieu parce nos prières ne sont pas exaucées ;
• Ne pas décider de se marier parce qu’il y a assez de divorces ;
• Ne plus croire en le retour de Jésus parce qu’il tarde à venir ;
• Ne pas faire confiance aux ministres parce qu’ils sont des hommes comme nous ;
• Ne plus continuer ses études parce qu’Il ya trop de chômeurs.

Comment nous rassurer ?
Comme le psalmiste, nous aussi nous devons faire  confiance à l’Eternel. Il est notre Père. Dieu est avec nous partout et à tout moment. Il nous rassure ; car il est écrit : « ……Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Rom.8 :31).   A la fin de ce service divin, des photos de souvenirs ont été prises  dans un climat d’une réelle fête.